«J’ai ressenti une très grande émotion comme cela m’est arrivé l’autre jour. C’est très excitant de retrouver mon peuple, ma maison, mes fans. C’est quelque chose d’unique, cela ne peut pas être décrit avec des mots et quelle meilleure façon de le faire avec une victoire. Espérons que ce soit le début d’une bonne période», raconte Sergio Ramos aux micros de Movistar. «Après le début de saison, ils le méritaient et à mon peuple qui me soutient dans le bon et le mauvais, encore plus dans le mauvais», termine-t-il, en dédiant ce succès important aux supporters qui n’ont pourtant pas tous été pour son retour au club. «Pour Grosso, je le connais comme joueur depuis des années. C’était un candidat dès le départ. En ce qui concerne le processus, sur la couverture médiatique de nos premiers choix, il y avait des choses qui n’étaient pas vraiment exactes. Dès le départ, je savais que je voulais parler à plusieurs candidats et savoir qui allait matcher avec notre projet. Je parlais de la vie, des ambitions. D’autres rendez-vous étaient plus techniques. Mais il ne faut pas croire que l’ordre des rendez-vous disait quelque chose. On aime à penser qu’un coach va peut-être rester cinq à sept ans. Ça a rarement lieu, mais c’était important de voir plusieurs coaches potentiels avant de prendre une décision. Mais quand j’ai vu Grosso, c’était évident, la décision était facile».
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